Stavisky l’escroc du siècle sur France 2 un téléfilm inédit avec Tomer Sisley au casting ainsi que Raphaëlle Agogué. Vos avis et réactions sur la fiction Stavisky diffusé le 13 janvier 2016 en prime.

Vos commentaires sur Stavisky de France 2 / Photo Etienne Chognard-FTV

Vos commentaires sur Stavisky de France 2 / Photo Etienne Chognard-FTV


En attendant Fais pas ci fais pas ça saison 8 dans la case du mercredi soir, France 2 diffuse Stavisky l’escroc du siècle le 13 janvier 2016 en prime time en concurrence avec Patron incognito chez Moving sur M6.

L’histoire de Stavisky l’escroc du siècle c’est un escroc de génie dans les années 30 qui se nomme Serge Alexandre Stavisky. Il vit entre luxe et pouvoir. On assiste à son ascension mais aussi à sa chute avec sa mort qui a été maquillée en suicide. Son décès engendrera les émeutes de 1934 et une tentative de coup d’Etat du fascisme.
Tomer Sisley relooké avec gomina et chaussures à guêtres pour son rôle, confie que cet escroc « était extrêmement sympathique. Il était aussi un peu « innocent” dans le sens d’enfantin et ne mesurait pas l’ampleur des conséquences de ses montages frauduleux. Pourtant, il gardait une certaine morale, une éthique. Ce n’était pas un ange mais il n’avait pas de sang sur les mains, par exemple ». Stavisky était un flambeur et un séducteur.



Les critiques de la presse sur Stavisky de France 2 sont partagées : Pour Télé Star « un évocation assez terne du grand scandale financier de l’entre 2 guerres ». Télé Loisirs aime beaucoup et met 3 étoiles  » A l’image de son étincelant personnage principal, un téléfilm envoûtant porté par une distribution sans faille ». Télé 7 jours est aussi enthousiaste sur l’avis de la fiction Stavisky « Une évocation de la chute du beau Sacha. Si les décors sont superbes, et la mise en scène soignée il aurait été intéressant de revenir sur la jeunesse de l’escroc. Le casting est en revanche impeccable, entre les seconds rôles et un Tomer Sisley très convaincant ».
Le Parisien a vu Stavisky avec Tomer Sisley et apprécie. « Claude Michel Rome restitue l’époque des années 1930 avec brio entre montée de l’antisémitisme et fêtes, grâce à une image soignée, des décors réussis et des dialogues bien ciselés ».