Tout pour la lumière la série française qui ressuscite l’âme d’Un, dos, tres dès juin 2025 sur TF1 et Netflix, quels sont les points communs ?

tp2l casting

L’équipe pédagogique de tout pour la lumière va-t-elle vous séduire ?

En découvrant les premières images de Tout pour la lumière, la nouvelle série musicale de TF1 et Netflix, difficile de ne pas penser à Un, dos, tres. Même décor de rêve, mêmes rêves de scène, et des personnages aussi fougueux qu’attachants. Coïncidence ou clin d’œil assumé ?

Une école, des rêves, des tensions

Dans Un, dos, tres diffusée au début des années 2000, on suivait les élèves d’une école des arts de la scène à Madrid, tiraillés entre cours exigeants, histoires d’amour compliquées et ambitions démesurées. Tout pour la lumière (TP2L) reprend cette recette gagnante : une troupe de jeunes talents rejoint une école d’excellence, où l’intensité du travail artistique se mêle à la fougue de la jeunesse. En France, Tout pour la lumière est comparé au Ici tout commence du chant et de la danse !



Tout comme Un, dos, tres la série française mêle vie de groupe, rivalités, amitiés, drames personnels et show final. Le spectateur est invité à grandir avec les élèves et à vibrer à chaque audition.

Autre point commun fort : la confrontation entre les jeunes et leurs professeurs. Un, dos, tres avait marqué avec des figures d’autorité charismatiques, comme Carmen Arranz ou Adela Ramos. Tout pour la lumière s’inscrit dans la même veine avec des adultes passionnés, parfois blessés par leur propre parcours, mais toujours exigeants à l’image de Joy Esther (Victoria) ou Isabel Otero (Florence).

Une modernité assumée de TP2L

Si Un, dos, tres était le reflet d’une époque pré-réseaux sociaux, Tout pour la lumière s’ancre résolument dans le monde d’aujourd’hui. Les téléphones, les auditions filmées, les followers, les coups de projecteur viraux ou destructeurs font partie intégrante du récit.

La série française mise aussi sur une plus grande diversité de profils et d’histoires : représentations LGBTQ+, origines sociales variées, traumas contemporains (burn out, anxiété, deuil, pression sociale) … sans jamais oublier le divertissement. Pour les reprises de covers, on va par contre plus se rapprocher de la série américaine Glee !

Une filiation évidente… mais une identité propre

Tout pour la lumière n’est pas une copie d’Un, dos, tres mais elle s’inscrit clairement dans son héritage. Comme une version 2.0, elle actualise une formule qui avait déjà tout pour plaire. Le tout avec une esthétique léchée, des chorégraphies travaillées et une bande-son soignée.

En bref, les fans de Un, dos, tres y retrouveront une ambiance familière, tandis que la nouvelle génération découvrira une série à la fois vibrante et pleine de rebondissements. Une chose est sûre : les projecteurs sont allumés, et les étoiles ne demandent qu’à briller sur TF1 et Netflix. Pour rappe, un autre feuilleton arrive cet été, c’est Nouveau jour sur M6 avec Bruno Solo et Alexandre Varga.

Regardez la bande-annonce Un, dos, tres nouvelle génération (malheureusement ça n’a pas fonctionné, la nostalgie ne fait pas tout !)